Au regard du prix du logement sur Paris, cela sera plutot alle-retour en TGV ^^
Quel statut convient le mieux actuellement alors ?
Ici au Luxembourg, il semble que le plus intéressant est de passer par une société de portage salarial.
Au regard du prix du logement sur Paris, cela sera plutot alle-retour en TGV ^^
Quel statut convient le mieux actuellement alors ?
Ici au Luxembourg, il semble que le plus intéressant est de passer par une société de portage salarial.
Il me semble que le portage salarial est plus intéressant si on ne veut pas s’embêter avec les frais et pour pouvoir rejoindre des grosses boites qui ne contractualise pas directement avec des auto-entrepreneurs. Sinon en lui-même le statut est toujours très intéressant
Personnelement je n’aime pas le portage, c’est assez contraignant.
Je prefère l’argement le status d’entrepreneur-salarié.
C’est celui que l’on à chez Lydra.
J’ai donné une longue entrevue pour expliquer ce status :
Après que ce soit entrepreneur-salarié ou portage, en desous de 20K€/an c’est clairement pas interessant.
Super intéressant ! Merci beaucoup pour la vidéo.
France et Belgique… ça semble vraiment être plombé par les cotisations sociales et les charges diverses.
Je ne suis pas vraiment d’accord. Mais quoi qu’il en soit je préfère vivre dans ce pays tellement taxé que l’éducation et la santé est gratuite et ou le modèle social prend en compte la solidarité.
Après on peut encore améliorer ça.
Pour moi on est surtout plombé par l’injustice fiscale et le service de la dette.
Mais ironiquement des pays qui “taxe” moins protègent mieux.
En tout cas je trouve ces sujets vraiment intéressant, je suis actuellement salarié mais peut être qu’un jour passer indépendant me tenterait bien.
Le portage est intéressant car:
Les tarifs des boites de portages sont honnêtes je trouve (5 %) vu les services rendus (car un indépendant a aussi des frais, comme un comptable par exemple).
Du coup tu perd un peu la relation commercial.
Chez nous on délègue cette partie a une assistante.
Pareil en CAE (Coopérative d’Activité et d’Emplois = entrepreneur-salarié), j’ai une fiche de paye, je negocie des prêts immo sans soucis
Cela dépend des accords de la boite d’entreprise.
Les TR c’est des cacahuette, en CAE tu peut carement passé l’intégralité de tes notes de resto en frais et bien plus.
En CAE je passé 100% de mes dépense pro.
Pareil en CAE
Ca dépends des boites de portage certaines sont plus chère.
En CAE en plus tu peu posséder ta boite, tu peu embaucher, tu peu lisser ton salaire, avoir de l’interessement, faire des ammortisements. Bref tu peu vraiment géré ton activité comme une vrais boite.
PS : j’ai scindé le sujet pour une meilleur lisibilité.
Donc là on a une bonne comparaison entre les statuts de entrepreneur-salarié et de portage, il en est quoi du statut d’indépendant ?
Hello. Pour ma part j’ai fait AE (entreprise individuelle au microsocial) et EI (entreprise individuelle au réel) puis SASU. J’ai découvert les CAE assez tard mais pour moi aucune hésitation à avoir pour un indépendant et la CAE, c’est le meilleur deal.
Quelques explications :
Moi j’ai fait le pas de passer en SASU et c’est pas mal. L’EURL aurait aussi pu être une option mais honnêtement arrêter d’avoir affaire aux caisses des indépendants, ça vaut bien de payer un peu plus de taxes. Vous payez plus mais avez plus de droits. De plus, ces caisses font moins d’erreurs et c’est toujours plus simple à gérer (si vous vous plaignez du contact avec pole emploi en tant que salarié, c’est que vous ne connaissez pas encore les guichets numériques de l’URSAFF, RSI, CIPAV…). Vous y aurez aussi le droit SAS mais c’est plus simple déjà (vous savez par exemple exactement combien vous coutera de vous payer XXXX€ ce mois-ci : en EI, vous le saurez sur le bilan que vous ferez trois moins après l’année close).
Bref, SASU c’est cool. Maintenant en plus le statut de CAE c’est encore mieux (au moins pour le démarrage) car vous êtes entourés de gens qui ont l’habitude de gérer une activité indé (faut savoir faire un devis, négocier, gérer son temps…), vous pouvez vous partager des marchés (le client signe avec une seule entité et vous gérez entre vous), vous êtes beaucoup plus crédible. Enfin (et surtout), tout ce qui va être gestion facturation, bilan, social, communication, etc peut-être mutualisé (sans vous interdire pour autant d’avoir une identité propre) et ça représente plusieurs jours par mois à passer pour un indé… autant le faire à plusieurs pour mutualiser.
Le portage est une alternative valable mais la CAE finalement fait déjà grossièrement la même chose et vous avez la maitrise de cette société commune en tant que coopérateur associé (vous n’est pas immédiatement associé mais à un an, c’est l’engagement que vous prenez réciproquement).
PS: sur les notions de taxe en France, je ne vais pas détailler car c’est hors sujet (on peut en parler dans un autre sujet) mais objectivement, on ne paye pas tant de taxes en France. Par contre le casse tête administratif est casse pieds coute cher et/ou prends du temps (d’où une certaine confusion de chefs d’entreprises)… mais c’est justement un argument de taille en faveur des CAE.
PS2: Sur les différents statuts, je rejette complètement l’accompagnement type CCI qui vous impose de vous préoccuper assez tot de votre statut social. C’est très loin d’être le plus important pour une activité libérale en IT. Optez pour l’un des statuts et faites le point au bout d’un an… On perds souvent trop de temps à planifier, parfois faut juste faire…
Je plussoie la CAE aussi que j’ai pas mal étudié et j’ai côtoyé pas mal de coopérant en co-working. Autre point, démarrer dans une CAE quand on a des droits Pole Emploi permet se bénéficier d’un CAPE (Contrat d’appui au projet d’entreprise) qui est a ma connaissance un des dispositif les plus intéressant quand on démarre une activité prévue pour être son activité principale.
Le portage est une possibilité intéressante a conditions que ça soit:
Enfin quand l’activité est installée (clients, CA), il y a un peu de choix dans les statuts d’entreprises, mais les SAS* ont souvent la côte pour le statut salarié du dirigeant.